Une merveille qu il ne me tarde pzs de terminer . C est comme une praline que vous degustez . Non un peu plus un restaurant de luxe ou tous les jours vous vous rendez afin de déguster des plats de plus populaires aux plus fins voire subtils .Un plaisir qui se renouvelle sans cesse et que l on attend Ulysse est un livre pour les gourmets de littérature. Un livre de dilétante dégustateur et amoureux. Esprit curieux patient et ouvert de rigueur JphT
Ce qui est formidable quand de minuscules écrivains passent à côté ou même attaquent les écrivains les plus fabuleux de la littérature c ‘est qu’ils dévoilent par la même qu ils ne sont pas des artistes. Delerm par exemple n ‘aime pas les romans qui comme Ulysse s ‘écrivent sur le principe de la référence à un autre texte , en l occurrence un texte fondateur de Homere et disons fondateur de la littérature. C ‘est pourtant bien là précisément que se trouve tout son ridicule. Il n’existe pas de littérature sans allusion permanente et organique à une autre littérature à un réseau d’œuvres sous-jacentes. Seul la littérature de gare peut s’enorgueillir de ne faire aucune référence à aucune œuvre littéraire. C ‘est précisément ce qui la caractérise. Ainsi donc en s’attaquant à beaucoup beaucoup beaucoup plus fort que lui il se met lui-même un bourre-pif comme on dit en boxe. Il prend comme alibi le fait qu’il lit Proust mais qu’aurait il a nous dire de Proust sans doute pas beaucoup plus que sur Joyce. Un lecteur ordinaire de Proust qui produit logiquement des livres impuissants. Comme il l’explique Joyce et Proust ne se sont pas vraiment rencontrés mais la belle affaire! tout les réunis dans la fabuleuse aventure littéraire ils sont différents stylistiquement mais semblables pour l’éternité par la puissance du projet littéraire qu’ils ont mis en œuvre. Delerm apporte comme un innocent la preuve absolue qu’il écrit des livres qui sont publiés mais qu’Il n’a pas les moyens artistiques de rentrer dans la littérature. Un autre écrivain beaucoup plus ridicule encore qu’on voit dans la vidéo avait trouvé une jouissance médiatique de petite crotte littéraire en balançant sur le plus pur des écrivains c ‘est à dire Kafka. Les médiocres ne craignent personne c ‘est à cela qu’on les reconnaît. Il faut redire sans cesse qu’un immense écrivain est la chose la plus rare au monde et que Delerm et ses collégues représentent une menace car ils sont nombreux et ne se gênent plus pour piétiner comme un troupeau ce qu’il y a de plus beau dans l’humanité créatrice.
Billy Bones Et il y en a une nouvelle, de Jacques Aubert, qui est superbe, partant de la première traduction avec notamment Valéry Larbaud et Joyce lui-même.
@@billybones2521 Jacques Aubert, qui a dirigé la nouvelle traduction (avec 8 autres traducteurs) de "Ulysses" dans les années 2000 expliquait très bien que la première traduction avait malheureusement mal vieilli, alors que le texte anglais, lui, semblait être resté comme étrangement hors du temps pour les lecteurs anglais : "moderne, vivant, de notre temps. Il n’est pas daté comme d’autres textes de cette époque...". Cet aspect là ne se ressentait plus dans la précédente traduction, veille de 75 ans. Le texte avait perdu sa modernité et les innovations de l'époque ne se ressentaient plus. Joyce l'avait peut être à l'époque "validée", en effet, mais il avait alors besoin d'argent et était trop content qu'on se mette à la tache pour lui le plus rapidement possible. De plus, la traduction de Morel en 1929 obéissait aux critères et au "bon goût" français de l'époque, beaucoup de passages ont été édulcorés car considérés comme trop obscènes pour le public français de l'époque. De nombreuses références ou résonances ont également échappé à la première traduction et la priorité stylistique avait été donné à la fluidité du français plutôt qu'à la musicalité du style originel... Je ne dis pas que les deux traductions de Ulysse ne valent rien, elles restent très intéressantes, mais malheureusement on perd beaucoup par rapport à l'original, comme presque toujours dans cet exercice quasi impossible.
@@Sofronichrist Jacques Aubert et les 8 autres traducteurs qui ont travaillé sur ce projet ont été très critique envers cette première traduction de Morel et Larbaud qu'ils trouvaient avoir malheureusement mal vieilli. De plus, Aubert lui même conseille de lire le texte en anglais si on le peut, car on perd beaucoup dans la traduction, aussi brillante soit elle.
Bravo Mr Delerm for having the guts to say you can't read more than a few pages of that crazily overrated book...! As for the other guests, if you've read only a translation, you've not read _Ulysses_ either.
Comme si c'était ça la question ! C'est justement ça qui était amusant dans cette émission, d'entendre les écrivains présents nommer des auteurs considérés (par rapport à ce qu'ils sont censés être eux-mêmes) comme étant des sommités et que pour autant, ils n'arrivent pas à apprécier. Il en va de Philippe Delerm comme de chacun des participants (ni plus ni moins). Leur déclaration (révélation) lorsqu'on entend les noms des auteurs considérés, semble énorme. ON se demande bien comment vous pouvez penser que le but de l'émission était de faire croire qu'il (lui ou les autres écrivains conviés) était supérieur à J Joyce.
@@anneschillaci22 Ah ! moi c'est au contraire "tout sourire" ! Si maintenant ceux à qui on s'adresse se mettent à reprocher à leurs interlocuteurs, ce qu'on leur reproche.à eux-même..... Mais c'est vrai que je ne suis rien auprès de......Delerm. Et si j'avoue ma condescendance, elle est à la mesure de votre connerie.
Une merveille qu il ne me tarde pzs de terminer . C est comme
une praline que vous degustez .
Non un peu plus un restaurant de luxe ou tous les jours vous vous rendez afin de déguster des plats de plus populaires aux plus fins voire subtils .Un plaisir qui se renouvelle sans cesse et que l on attend
Ulysse est un livre pour les gourmets de littérature.
Un livre de dilétante dégustateur
et amoureux.
Esprit curieux patient et ouvert de rigueur
JphT
il faut faire très gaffe avant de commencer joyce, se préparer à l’avance, en fait il faut pas chercher à y rentrer. c’est ça la magie.
Ce qui est formidable quand de minuscules écrivains passent à côté ou même attaquent les écrivains les plus fabuleux de la littérature c ‘est qu’ils dévoilent par la même qu ils ne sont pas des artistes. Delerm par exemple n ‘aime pas les romans qui comme Ulysse s ‘écrivent sur le principe de la référence à un autre texte , en l occurrence un texte fondateur de Homere et disons fondateur de la littérature. C ‘est pourtant bien là précisément que se trouve tout son ridicule. Il n’existe pas de littérature sans allusion permanente et organique à une autre littérature à un réseau d’œuvres sous-jacentes. Seul la littérature de gare peut s’enorgueillir de ne faire aucune référence à aucune œuvre littéraire. C ‘est précisément ce qui la caractérise. Ainsi donc en s’attaquant à beaucoup beaucoup beaucoup plus fort que lui il se met lui-même un bourre-pif comme on dit en boxe. Il prend comme alibi le fait qu’il lit Proust mais qu’aurait il a nous dire de Proust sans doute pas beaucoup plus que sur Joyce. Un lecteur ordinaire de Proust qui produit logiquement des livres impuissants. Comme il l’explique Joyce et Proust ne se sont pas vraiment rencontrés mais la belle affaire! tout les réunis dans la fabuleuse aventure littéraire ils sont différents stylistiquement mais semblables pour l’éternité par la puissance du projet littéraire qu’ils ont mis en œuvre. Delerm apporte comme un innocent la preuve absolue qu’il écrit des livres qui sont publiés mais qu’Il n’a pas les moyens artistiques de rentrer dans la littérature. Un autre écrivain beaucoup plus ridicule encore qu’on voit dans la vidéo avait trouvé une jouissance médiatique de petite crotte littéraire en balançant sur le plus pur des écrivains c ‘est à dire Kafka. Les médiocres ne craignent personne c ‘est à cela qu’on les reconnaît. Il faut redire sans cesse qu’un immense écrivain est la chose la plus rare au monde et que Delerm et ses collégues représentent une menace car ils sont nombreux et ne se gênent plus pour piétiner comme un troupeau ce qu’il y a de plus beau dans l’humanité créatrice.
Merci pour ce commentaire on ne peut plus criant de vérité ! Quel plateau de béotiens ravis
Les français lisent Joyce en traduction... ça explique tout.
Joyce a validé la traduction en français.
Billy Bones Et il y en a une nouvelle, de Jacques Aubert, qui est superbe, partant de la première traduction avec notamment Valéry Larbaud et Joyce lui-même.
@@billybones2521 Jacques Aubert, qui a dirigé la nouvelle traduction (avec 8 autres traducteurs) de "Ulysses" dans les années 2000 expliquait très bien que la première traduction avait malheureusement mal vieilli, alors que le texte anglais, lui, semblait être resté comme étrangement hors du temps pour les lecteurs anglais : "moderne, vivant, de notre temps. Il n’est pas daté comme d’autres textes de cette époque...". Cet aspect là ne se ressentait plus dans la précédente traduction, veille de 75 ans. Le texte avait perdu sa modernité et les innovations de l'époque ne se ressentaient plus. Joyce l'avait peut être à l'époque "validée", en effet, mais il avait alors besoin d'argent et était trop content qu'on se mette à la tache pour lui le plus rapidement possible. De plus, la traduction de Morel en 1929 obéissait aux critères et au "bon goût" français de l'époque, beaucoup de passages ont été édulcorés car considérés comme trop obscènes pour le public français de l'époque. De nombreuses références ou résonances ont également échappé à la première traduction et la priorité stylistique avait été donné à la fluidité du français plutôt qu'à la musicalité du style originel... Je ne dis pas que les deux traductions de Ulysse ne valent rien, elles restent très intéressantes, mais malheureusement on perd beaucoup par rapport à l'original, comme presque toujours dans cet exercice quasi impossible.
@@Sofronichrist Jacques Aubert et les 8 autres traducteurs qui ont travaillé sur ce projet ont été très critique envers cette première traduction de Morel et Larbaud qu'ils trouvaient avoir malheureusement mal vieilli. De plus, Aubert lui même conseille de lire le texte en anglais si on le peut, car on perd beaucoup dans la traduction, aussi brillante soit elle.
@@James-mn2pk oui je vais finir par m'attaquer à la version originale. J'aurais été preneur d'une traduction par Beckett !
Joyce 's Ulysses is the best book ever !
Is a bit missing between 2:52 and 2:53 ?
nop
Yep
Ro les arguments de Delerm, quelle pauvreté...
Bravo Mr Delerm for having the guts to say you can't read more than a few pages of that crazily overrated book...! As for the other guests, if you've read only a translation, you've not read _Ulysses_ either.
Delerm. .. Je me marre....ce type n'est rien auprès de Joyce.
Comme si c'était ça la question ! C'est justement ça qui était amusant dans cette émission, d'entendre les écrivains présents nommer des auteurs considérés (par rapport à ce qu'ils sont censés être eux-mêmes) comme étant des sommités et que pour autant, ils n'arrivent pas à apprécier.
Il en va de Philippe Delerm comme de chacun des participants (ni plus ni moins). Leur déclaration (révélation) lorsqu'on entend les noms des auteurs considérés, semble énorme.
ON se demande bien comment vous pouvez penser que le but de l'émission était de faire croire qu'il (lui ou les autres écrivains conviés) était supérieur à J Joyce.
@@MrAndreasy devant la condescendance de votre laïs indigeste, j'ai hésité entre bailler et sourire.
J'ai baillé.
@@anneschillaci22 Ah ! moi c'est au contraire "tout sourire" ! Si maintenant ceux à qui on s'adresse se mettent à reprocher à leurs interlocuteurs, ce qu'on leur reproche.à eux-même.....
Mais c'est vrai que je ne suis rien auprès de......Delerm.
Et si j'avoue ma condescendance, elle est à la mesure de votre connerie.
personne n’est rien auprès de joyce, maître absolu.
@@MrAndreasy le triomphe médiatique des médiocres, même le temps d’une émission n ‘est pas amusant c ‘est abrutissant comme la télé
Ahaha.
C'est comme Céline je n'accroche pas non plus en plus je déteste le postmodernisme